J'ai déposé religieusement mon devoir de christologie relu, corrigé, relu et recorrigé pour être à peu près certain que je n'ai pas laissé passer trop de fautes (j'ai quand même réussi à en trouver une énorme, où je disais que le nestorianisme était un monophysisme latent !! Oui, c'est énorme, vous aurez compris pourquoi... non ?), dans le casier de mon cher professeur de théologie dogmatique.
Ce matin, j'attaque la préparation de mon exposé sur le sacrement de mariage, que je présenterai ce 28 février à la foule de mes confrères et consoeurs en délire, sur Eph 5, 21-32 (Nicolas et Sophie reconnaîtront certainement ce passage, choisi, si je me rappelle bien, comme première lecture pour la messe de leur mariage, non ? ;) ), ce qui veut dire, en bon français et pour ceux qui l'ignoreraient, les versets 21 à 32 du chapitre 5 de la lettre de Saint Paul aux Ephésiens, ainsi que son commentaire par Jean-Paul II dans ses catéchèses d'août-septembre 1982 (Homme et femme il les créa). Grands textes, gros programmes... On se reposera plus tard !
Je file, j'ai du boulot ! :)